FAQ

Pour être considéré comme un candidat potentiel, il est nécessaire d’avoir 18 ans, une vision stable depuis au moins un an et aucune pathologie cornéenne connue. L’examen préopératoire jouera un rôle crucial dans l’évaluation approfondie de l’état de vos yeux. Il est essentiel de garantir que vos yeux sont en parfaite santé pour optimiser les résultats de la chirurgie. Nous pourrons alors déterminer la technique qui vous conviendra le mieux.

Malheureusement, il est impossible de garantir le succès d’une chirurgie. Lors de l’examen préopératoire, nous pouvons vous fournir une estimation réaliste du résultat probable, mais nous ne pouvons pas garantir le résultat final. Cependant, étant donné que les complications sérieuses sont extrêmement rares, les résultats obtenus sur les milliers de patients que nous avons traités sont excellents. Dans certains cas, une retouche peur s’avérer nécessaire pour corriger une myopie, un astigmatisme ou une hypermétropie résiduelle.

Le coût de la chirurgie varie en fonction de la technique utilisée.  Il est nécessaire de passer un examen préopératoire pour déterminer votre admissibilité à la chirurgie, et par conséquent, obtenir le coût exact.

La chirurgie ne constitue pas une contre-indication au port de lentilles cornéennes. Cependant, en fonction de l’état du patient avant l’intervention, certains peuvent nécessiter des lentilles cornéennes spéciales après la chirurgie. Néanmoins, notre préférence demeure la correction de tout problème résiduel par le biais d’une chirurgie de retouche plutôt que par l’utilisation de lunettes ou de lentilles cornéennes.

Même si votre vision s’améliore dès le lendemain, il est important de noter que vous venez de subir une chirurgie oculaire, ce qui peut entraîner une fatigue oculaire rapide. C’est pourquoi nous recommandons une période de convalescence allant de 4 à 10 jours, en fonction de la technique utilisée.

Le retour au travail peut varier en fonction de la rapidité de récupération et de la nature de l’emploi. Néanmoins, une vigilance particulière est nécessaire au cours de la première semaine, et il est conseillé d’éviter les environnements poussiéreux ou enfumés.

L’examen préopératoire et l’intervention chirurgicale sont éligibles à une déduction d’impôt.

À ce jour, deux options existent pour traiter la presbytie. Tout d’abord, les lentilles multifocales permettent de corriger la vision de près, de loin, et intermédiaire, facilitant ainsi la réalisation des tâches quotidiennes telles que la lecture ou le travail sur ordinateur.

Ensuite, la monovision est une alternative pour ceux qui préfèrent éviter le port de lunettes de lecture après une chirurgie au laser. Cette approche implique la correction d’un œil pour la vision de loin et de l’autre pour la vision de près. Un essai préliminaire avec des lentilles cornéennes est nécessaire pour évaluer votre capacité à fonctionner correctement dans vos activités quotidiennes.

Il est important de noter que la monovision peut influencer le jugement des distances et la perception des profondeurs. Lors de l’examen préopératoire, si vous êtes presbyte, nous vous recommanderons la meilleure technique adaptée à votre condition.

Un critère essentiel pour être éligible à la chirurgie est de maintenir une vision stable pendant au moins un an. Cette condition peut être évaluée lors de l’examen préopératoire. Si votre vision est stable, la réapparition de la myopie, de l’hypermétropie et de l’astigmatisme ne devrait pas normalement se produire. Cependant, si une diminution de la vision est observée après l’intervention initiale, une possibilité de retraitement pourrait être envisagée. Dans les six mois suivant l’intervention, cette baisse est généralement attribuée à la chirurgie. Si elle survient après cette période, elle peut être liée à la récupération de l’œil. Dans les deux cas, les examens de suivi postopératoires sont essentiels pour évaluer les résultats de l’intervention. Ces suivis sont inclus pour une durée d’un an, tandis que les retraitements sont inclus pour une période de deux ans.

La chirurgie en elle-même ne provoque pas de douleur. Nous réalisons une anesthésie topique à l’aide de gouttes oculaires pour insensibiliser votre œil. En outre, nous vous administrons un léger sédatif oral pour favoriser la détente. Toutefois, lors de la chirurgie du LASIK, vous pourriez ressentir une légère pression pendant quelques secondes lors de la création de la lamelle. Après l’intervention, vous pourriez éprouver un certain inconfort, semblable à la sensation d’avoir un grain de sable ou un cil dans l’œil. Cette sensation de grattage, accompagnée de larmoiement, peut persister de 6 à 48 heures, selon la technique utilisée.

Les deux yeux sont opérés simultanément, à moins que le chirurgien n’en décide autrement.

Quelle que soit la technique, vous ne ressentez pas les manipulations ni les instruments utilisés pendant la chirurgie. La procédure se déroule avec le patient allongé, ayant reçu une sédation 20 min avant l’intervention. L’œil droit est généralement traité en premier, suivi du gauche dans la même séance si tout se passe comme prévu. Pendant la chirurgie, le patient fixe une lumière rouge clignotante.

L’amblyopie, également connue sous le nom d’œil paresseux, est une affection qui se développe généralement dans la petite enfance. Elle se caractérise par un œil affaibli dont la vision ne peut pas être améliorée à l’aide de lunettes, et dans certains cas, même par la chirurgie. Une évaluation préopératoire est nécessaire pour déterminer votre éligibilité à la chirurgie.

La durée de convalescence varie de 3 à 14 jours en fonction de la technique utilisée pour la correction de la vue et du type d’emploi. En règle générale, il est recommandé d’éviter, au cours du premier mois, toute exposition à des substances irritantes et de minimiser les risques de recevoir des coups aux yeux. La baignade est également interdite pendant les deux premières semaines.

Après l’intervention, suivre scrupuleusement les recommandations du chirurgien contribue à réduire le risque de complications. Bien que les complications soient rares, les risques peuvent être plus élevés dans certaines situations. Il est donc essentiel de prendre le temps de lire attentivement les consignes postopératoires afin de planifier une convalescence adéquate.

Si une cataracte se manifeste ultérieurement, il est possible de subir une intervention pour son extraction, même si une chirurgie réfractive a déjà été réalisée dans le passé. Cependant, lors du développement de la cataracte, des calculs spécifiques sont nécessaires pour déterminer la puissance adéquate de la lentille à utiliser afin d’éviter le port de lunettes à nouveau.

Cette opacification entraîne des problèmes de vision similaires à ceux de la cataracte. Le chirurgien procédera alors à une capsulotomie (YAG). Ce traitement consiste à créer de minuscules trous dans la capsule à l’aide d’un rayon laser, permettant ainsi le passage de la lumière. La procédure est indolore, dure quelques minutes seulement et ne nécessite aucune convalescence. Les frais liés à cette intervention sont inclus s’ils sont réalisés pendant la période de suivi.

Les matériaux utilisés sont généralement biocompatibles et ne provoquent pas de réaction de rejet. Les lentilles intraoculaires (LIO) sont employées en ophtalmologie depuis plus de 50 ans.

Grâce aux nouvelles technologies, il n’est plus obligatoire d’attendre que la cataracte atteigne un stade avancé, avec un cristallin fortement opaque et une altération significative de la vision, avant d’opter pour l’intervention. L’opération est plus aisée lorsqu’elle est effectuée au début du développement de la cataracte. Par conséquent, l’extraction de la cataracte peut être envisagée dès que celle-ci commence à affecter vos activités quotidiennes.

1. Absence de liste d’attente;
2. Service hautement professionnel, attentionné et personnalisé;
3. Possibilité de bénéficier d’une chirurgie complémentaire au laser ou autre pour éliminer ou réduire la nécessité de porter des lunettes;
4. Utilisation d’équipements de pointe;
5. Bloc opératoire réservé exclusivement aux chirurgies oculaires, réduisant ainsi les risques d’infections hospitalières;
6. Lentille intraoculaire de haute qualité, adaptée à vos besoins;
7. Examens d’évaluation pré et postopératoires approfondis effectués par des professionnels de la vue (optométristes ou ophtalmologistes);
8. Possibilité de contact en cas d’urgence à tout moment.

Non, aucun pansement ne sera appliqué. À la place, une coquille transparente sera positionnée sur l’œil opéré. Vous devrez la conserver jusqu’au lendemain de l’intervention. Par la suite, vous pourrez la retirer pendant la journée, mais il sera nécessaire de la remettre chaque nuit pendant les 7 jours suivants.